Quels livres pour s’initier à l’Histoire de l’art ?

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Quels livres choisir pour s’initier à l’Histoire de l’art ? Voici une sélection de livres à lire quand on débute (ou pas) en Histoire de l’art. Que vous soyez néophyte ou amateur éclairé, découvrez 10 ouvrages, qu’ils soient récents ou plus anciens, à dévorer avant la rentrée. Ces lectures vous permettront non seulement de vous familiariser avec la discipline, mais aussi d’affiner votre regard et d’aiguiser votre esprit à travers l’analyse critique des chefs-d’œuvre artistiques.

*Les liens avec une petite étoile sont affiliés – ça ne change rien pour vous – cela signifie que je suis susceptible de recevoir une commission si vous achetez via ce lien. Toutes les lectures recommandées sont des ressources que j’ai personnellement lues ou utilisées !

S’initier à l’Histoire de l’art

Ernest Gombrich, L’histoire de l’art

Mon avis

L’Histoire de l’art pour les nuls, c’est Ernst Gombrich, sans hésitation. Ce livre est un « must-read » pour tout lecteur, averti ou débutant. Il est très accessible et facile à lire, que ce soit sur la place publique ou dans son jardin, tranquillement. Il retrace les évolutions artistiques de la préhistoire à nos jours. Cet ouvrage est LA référence, il est impossible de ne pas le citer. C’est un incontournable que vous retrouverez bien souvent dans vos bibliographies du premier semestre. La lecture d’Ernst Gombrich est un passage quasi-obligé pour tout étudiant en Histoire de l’art. C’est un must-have dans sa bibliothèque. De plus, l’auteur renvoie à de nombreuses références bibliographiques au fil du livre, ce qui permet d’approfondir le sujet. S’il n’y en avait qu’un, ce serait celui-là !

Résumé

Histoire de l’art de E.H. Gombrich est l’un des ouvrages sur l’art les plus célèbres et les plus populaires jamais publiés. Depuis quarante-cinq ans, il demeure une introduction inégalée à l’ensemble du sujet, des premières peintures rupestres à l’art d’aujourd’hui. Dans le monde entier, les lecteurs de tous âges et de tous milieux ont trouvé en Gombrich un véritable maître, qui allie la connaissance et la sagesse à un don unique pour communiquer directement sa profonde affection pour les œuvres qu’il décrit. Cette Histoire de l’art doit sa popularité durable au style simple et direct de l’auteur. Son but, écrit-il, est « d’apporter un certain ordre, une certaine clarté dans l’abondance de noms propres, de dates, de styles qui compliquent quelque peu les ouvrages plus spécialisés ».

A propos de l’auteur

Grand spécialiste d’Histoire de l’art et d’iconographie, Ernst Gombrich a été assistant de recherches à l’Institut Warburg en 1936. Il est l’un des spécialistes les plus connus du grand public. De 1959 à 1976, il occupe la chaire d’Histoire de la tradition classique à l’Université de Londres. Son ouvrage Histoire de l’art est publié en 1950. C’est l’un des ouvrages les plus accessibles sur le sujet. Ernst Gombrich a publié une dizaine de livres portant sur la Renaissance et l’Art en général.

Erwin Panofsky, L’œuvre d’art et ses significations

Mon avis

Pour une première approche, Erwin Panofsky n’est pas le plus simple à lire, je l’admets. Pourtant, lorsque l’on s’intéresse aux contenus des images et à l’iconologie, ce livre constitue une bonne entrée en matière. Erwin Panofsky est le plus éminent représentant de l’iconologie, une méthode d’étude des images. Ce livre a donc le mérite de fournir une approche de cette vision incontournable de l’Histoire de l’art et de la signification des images. Erwin Panofsky interroge le contenu des peintures, les sujets, l’iconographie dans cette théorie des images dont vous entendrez souvent parler en première année et au-delà. Ces idées sont à l’origine de l’iconographie telle qu’on la connaît aujourd’hui. Un classique pour les novices et les initiés !

Résumé

On doit à Erwin Panofsky (1892-1968), immense historien de l’art, une approche particulière : l’iconologie. À partir d’un formidable travail d’érudition sur le contexte culturel et social d’une œuvre, il s’agit de découvrir dans le motif, les thèmes, les détails un univers de symboles qui disent le sens final d’une œuvre. Ses recherches sur ce qu’il appelait le symbolisme caché des choses demeurent fondamentales pour la compréhension de l’art de la Renaissance. Aussi ce recueil d’études est-il comme une traversée de l’œuvre de Panofsky : le lecteur y trouve définis les trois niveaux de signification d’une œuvre (les styles, les types et les symboles) ainsi que des exemples de méthode appliquée à l’analyse des styles de la Renaissance. De ce point de vue, les essais consacrés à Dürer, à Titien et à Poussin offrent, parvenus à leur point de perfection, les chefs-d’œuvre de l’interprétation iconographique.

A propos de l’auteur

Erwin Panofsky est une sommité dans le domaine de l’iconologie, un nom à connaître. Comme Ernst Gombrich, il a côtoyé l’Institut Warburg de Hambourg aux côtés de l’historien Fritz Saxl et du philosophe Ernst Cassirer. Il a émigré aux États-Unis en 1933 et a enseigné à l’Université de New York, puis à Princeton. Dans ses études, l’image devient un raccourci de signes et d’idées. L’image est composée à la manière d’un rébus que le spectateur, s’il connaît les codes, peut interpréter. On parle de symboles, d’associations et de concepts.

Michel Pastoureau, Le petit livre des couleurs

Mon avis

En proposant une approche plus pragmatique de l’art, Michel Pastoureau s’intéresse aux métiers, à l’histoire sociale, au sens caché des couleurs dans la vie quotidienne. Ce livre constitue une bonne introduction aux études de Michel Pastoureau. Un petit ouvrage très agréable à lire et instructif qui doit être vu comme un premier contact passionnant avec des détails. On y revient toujours à un moment ou à un autre de son cursus. C’est reposant, facile et efficace, tout en ouvrant l’esprit sur les petites choses invisibles.

Résumé

Ce n’est pas un hasard si nous voyons rouge, rions jaune, devenons verts de peur, bleus de colère ou blancs comme un linge. Les couleurs ne sont pas anodines. Elles véhiculent des tabous, des préjugés auxquels nous obéissons sans le savoir, elles possèdent des sens cachés qui influencent notre environnement, nos comportements, notre langage, notre imaginaire. Les couleurs ont une histoire mouvementée qui raconte l’évolution des mentalités. L’art, la peinture, la décoration, l’architecture, la publicité, nos produits de consommation, nos vêtements, nos voitures, tout est régi par ce code non écrit. Apprenez à penser en couleurs et vous verrez la réalité autrement !

A propos de l’auteur

Archiviste et paléographe, Michel Pastoureau est également un historien français spécialisé dans la période médiévale, la symbolique, les emblèmes et l’héraldique. En 1972, il a soutenu sa thèse à l’École des Chartes, portant sur le bestiaire héraldique du Moyen Âge. Il a publié une quarantaine d’ouvrages consacrés à l’histoire culturelle des couleurs, aux animaux et aux symboles.

Jérôme Baschet, L’iconographie médiévale

Mon avis

Si tout le monde n’adhère pas à ses hypothèses, Jérôme Baschet est un spécialiste dans le domaine de l’étude de l’image. Parfois critiqué pour ses idées qui vont à contre-courant de celles de Panofsky, les ouvrages de Jérôme Baschet sont des lectures à connaître pour aborder l’iconographie. L’auteur aborde le sens des images dans une nouvelle approche plus globale, questionnant notamment les séries de répétition, le lieu et les relations entre personnages. Bien que le ton soit celui d’une discussion philosophique parfois verbeuse et un peu lourde, les interprétations que l’auteur propose ont le mérite d’ouvrir le débat : cela change un peu. Ce livre est une sorte de manuel qui dépoussière un peu l’iconographie.

Résumé

L’image médiévale n’est pas, comme le veut l’idée commune, la ‘Bible des illettrés’! Critiquant les œuvres fondatrices d’Émile Mâle et d’Erwin Panofsky, Jérôme Baschet reconsidère le concept d’iconographie : il écarte toute dissociation entre le fond et la forme et prône la plus extrême attention aux procédés plastiques par lesquels la pensée figurative dote de sens les images. À l’heure où l’usage des bases de données en ligne est en passe de modifier notre rapport aux œuvres, le rappel de leur matérialité est loin d’être inutile car les images médiévales ne peuvent être analysées sans prendre en compte la fonction des objets dont elles sont le décor et les usages sociaux auxquels ceux-ci sont associés.

A propos de l’auteur

Jérôme Baschet, diplômé de l’École Française de Rome, est aujourd’hui maître de conférences à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales. Historien médiéviste et spécialiste des images, il explore également les enjeux du monde contemporain. Ses ouvrages de référence interrogent les notions d’image-objet, d’image-lieu et de lieu d’images à l’époque médiévale, tout en analysant les rapports entre l’image et le lieu rituel où elle s’inscrit.

Daniel Arasse, Le détail

Mon avis

Daniel Arasse est une référence incontournable en histoire de l’art, souvent inscrit au programme de lecture en Licence 1. Il explore la volonté de l’artiste, l’imitation parfaite du réel, les détails d’un tableau, le design, la mode, le mobilier, et la nature même de ce que l’on voit, ou ne voit pas d’ailleurs. Son regard singulier sur les choses transmet efficacement sa passion pour l’observation pure et l’analyse des œuvres. Dans la même veine, vous pouvez également découvrir « Le détail », « Le sujet dans le tableau » et « On n’y voit rien », autant d’ouvrages que vous retrouverez probablement à la rentrée !

Résumé

Ce volume s’ouvre sur la représentation du patron de tous les peintres, saint Luc peignant la Vierge. Par cette mise en abyme, ce choix emblématique, Daniel Arasse envisage un programme qui va bien au-delà d’une simple «histoire du détail», car ce qu’il vise est la totale relecture de l’histoire de la peinture occidentale à l’aune du détail. Qu’il soit inopinément ou peu à peu découvert, identifié, scruté, isolé, voire découpé de son ensemble, le détail offre en effet une toute autre manière de voir et d’appréhender la peinture. Ainsi, grâce à cette histoire rapprochée des pratiques du pinceau et du regard, un champ nouveau se dessine, remettant en question les catégories de l’histoire de l’art qui semblent avoir été établies «de loin», sans que jamais l’érudition ne prenne le pas sur le plaisir et les «fêtes de l’il».

A propos de l’auteur

Historien de l’art français, spécialiste de la Renaissance et de l’art italien, Daniel Arasse a entamé sa carrière après avoir étudié à l’École Normale Supérieure, sous la direction d’André Chastel. Malheureusement, sa thèse a été dérobée dans le coffre de sa voiture à Florence, le conduisant à changer de sujet pour travailler par la suite sous la direction de Louis Marin. Membre de l’École française de Rome, il a occupé les postes de directeur de l’Institut français de Florence et de l’EHESS au fil du temps. Daniel Arasse est reconnu pour ses talents de vulgarisateur, s’adressant avec succès au grand public.

Anne Larue, Histoire de l’art d’un nouveau genre

Mon avis

Si l’on connaît mieux les ouvrages de l’Histoire des femmes sous la direction de Georges Duby, ce livre complète bien sa vision de l’art du point de vue des « Gender Studies ». Bien documenté et captivant, tout en restant très accessible, ce livre retrace toute l’Histoire de l’art avec un regard neuf et bienvenu, évitant l’opposition binaire « homme/femme » un peu lassante. Il s’agit d’un ouvrage très actuel qui bouscule quelque peu les grands manuels généralistes et canoniques.

Résumé

Quelle est la place de la femme dans l’histoire de l’art ? Sujet souvent privilégié des œuvres, elle est tantôt muse, tantôt modèle, mais jamais artiste. Que s’est-t-il passé pour que le panthéon de l’histoire de l’art soit exclusivement masculin ? A la croisée entre l’historiographie et la sociologie, ce bel ouvrage lève le voile sur l’un des secrets les mieux gardés. L’art a-t-il un genre ? Aujourd’hui encore le discours de l’histoire de l’art s’écrit essentiellement au masculin. On dirait que les femmes n’ont jamais pris part à ce processus, que l’art exige encore et toujours une performance liée à l’idée de masculinité. Adoptant le point de vue des femmes et s’appuyant sur des recherches en histoire de l’art, ce livre réévalue leur place et leur rôle dans la fabrique des arts.

A propos de l’auteur

Anne Larue, universitaire française, professeure de littérature et historienne de l’art, a également publié de nombreux ouvrages de science-fiction. Ses thèmes de prédilection sont les « gender studies », la science-fiction féministe et le féminisme en général. En 2019, elle a obtenu le Grand Prix de l’Imaginaire pour « Libère-toi cyborg ».

John Dewey, L’art comme expérience

Mon avis

Finalement, le titre résume assez bien le propos de l’auteur. John Dewey propose une dissertation sur les différentes façons de comprendre l’art et comment il s’expérimente dans notre vie quotidienne. C’est pragmatique, descriptif et plutôt lisible. L’auteur aborde le processus de création, l’éducation et l’observation d’une œuvre. Un livre qui mérite d’être exploré.

Résumé

John Dewey (1859-1952) est un des piliers du  » pragmatisme « . Au centre de cette tradition, il y a l’enquête, c’est-à-dire la conviction qu’aucune question n’est a priori étrangère à la discussion et à la justification rationnelle. Dewey a porté cette notion d’enquête le plus loin : à ses yeux, il n’y a pas de différence essentielle entre les questions que posent les choix éthiques, moraux ou esthétiques et celles qui ont une signification et une portée plus directement cognitives. Aussi aborde-t-il les questions morales et esthétiques dans un esprit d’expérimentation – ce qui tranche considérablement avec la manière dont la philosophie les aborde d’ordinaire, privilégiant soit la subjectivité et la vie morale, soit les conditions sociales et institutionnelles. Dans L’art comme expérience, la préoccupation de Dewey est l’éducation de l’homme ordinaire. Il développe une vision de l’art en société démocratique, qui libère quiconque des mythes intimidants qui font obstacle à l’expérience artistique.

A propos de l’auteur

Psychologue et philosophe américain, ces domaines de prédilection sont la pédagogie, l’éducation et le pragmatisme.  

Elke Linda Buchholz, Art: a world History

Mon avis

Un manuel riche en bonnes références, bien que plutôt long, qui explore de manière approfondie les expressions artistiques humaines et les styles de l’Histoire de l’art. C’est un guide bien construit, idéal pour s’initier le matin au petit-déjeuner, une œuvre à la fois. Ce livre couvre toutes les périodes, de la préhistoire à nos jours, en passant par le Moyen Âge, l’époque baroque, contemporaine, etc. Très complet, il constitue une excellente lecture à parcourir pendant les vacances, idéale pour affiner son regard depuis un transat ! Il existe une multitude de manuels d’Histoire de l’art. Je vous recommande également les collections Hazan, celles de l’École du Louvre pour commencer, et éventuellement le volumineux Larousse intitulé « Histoire de l’art du Moyen Âge à nos jours »

A propos de l’auteur

L’auteur, une écrivaine allemande, journaliste et éducatrice artistique, produit de nombreux guides destinés aux musées nationaux et aux expositions. Elle publie plusieurs monographies thématiques qui commentent des œuvres, des artistes et des grands courants de l’histoire de l’art. Son œuvre comprend également de nombreuses encyclopédies qui s’adressent aussi bien aux étudiants et aux amateurs d’art qu’au grand public.

Elie Faure, L’esprit des formes

Mon avis

Ce livre est un ouvrage un peu ancien, mais il aborde de manière très poétique et lyrique l’histoire des formes de l’art. Bien que légèrement daté, il demeure indispensable pour débuter et ensuite explorer d’autres perspectives. L’ouvrage d’Élie Faure est vaste, retraçant l’évolution de l’architecture, de la sculpture, de la peinture et des arts domestiques de la préhistoire au début du XXe siècle.

Résumé

« L’esprit des formes est un. Il circule au-dedans d’elles comme le feu central qui roule au centre des planètes et détermine la hauteur et le profil de leurs montagnes selon le degré de résistance et la constitution du sol. C’est la permanence de cette force qu’il s’agit de retrouver et de mettre en lumière sous la diversité et la variabilité des symboles qui la dissimulent. Je crains de ne pas être parvenu à maintenir, entre les pages de ce livre, cette circulation grandiose d’énergie qui rend aussi sûrement solidaire la moindre image d’oiseau trouvée dans les sables d’Égypte d’un aéroplane actuel, que la plus effacée des silhouettes de mammouth gravée sur les parois du Fond-de-Gaume, de la pagode de Srirangam ou du Parthénon de Périclès. »

A propos de l’auteur

Médecin, historien de l’art et essayiste français, Élie Faure a considérablement enrichi l’historiographie de l’histoire de l’art. En 1902, il commence à publier des articles dédiés à l’art dans L’Aurore. Son Histoire de l’art est issu d’une série de conférences données entre 1905 et 1909 à l’université populaire La Fraternelle de Paris.

Alain Schnapp, La conquête du passé

Mon avis

Comment et surtout pourquoi ressusciter le passé ? Pourquoi les ruines fascinent-elles autant ? Pourquoi nos prédécesseurs nous captivent-ils autant ? Quel est le sens de l’archéologie ? Autant de questions auxquelles ce livre propose des réponses. Alain Schnapp nous guide littéralement d’une période à l’autre, d’un lieu à l’autre, et donne un sens à l’utilité et aux origines de l’archéologie. C’est un ouvrage captivant que je trouve accessible.

Résumé

Ce livre est une tentative d’archéologie de l’archéologie, une enquête sur le savoir de ceux qu’on appelle depuis l’Antiquité romaine les antiquaires. Contrairement à une idée répandue, l’archéologie entendue comme l’étude des vestiges du passé n’est pas une invention de la Renaissance. Elle était déjà familière aux scribes d’Assyrie, d’Égypte ou de Chine, elle était discutée par les sophistes d’Ionie, et mise en pratique par les historiens de Rome. […] Cette histoire n’est pas une succession harmonieuse de progrès, mais la redécouverte et l’interprétation, souvent erratique, d’observations dont la mémoire s’était perdue.

A propos de l’auteur

Impossible de ne pas connaître Alain Schnapp lorsqu’on parle d’archéologie, de ruines, d’antiquité ou de réception. C’est une éminence dans son domaine : l’anthropologie de l’image en Grèce ancienne, l’histoire de l’archéologie et l’étude urbaine des cités et des territoires du monde grec.

✏️ N’hésitez pas à partager vos propres trouvailles dans les commentaires. Je serai ravie de découvrir de nouveaux livres ainsi que d’autres suggestions de lectures d’histoire de l’art pour débutants !

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2 Comments
  • Hervé

    Répondre

    Bonjour Clémence.
    J’ai lu et apprécié deux ouvrages de Nadeije Laneyrie-Dagen « histoire de l’art pour tous » et « lire la peinture ». Très abordables pour le néophyte que le suis. Qu’en pensez-vous ?

    Votre blog est fantastique
    Bonne journée
    Très cordialement
    Hervé

    • Clémence

      Merci pour ces belles suggestions de lecture Hervé ! Ce sont en effet des livres très accessibles pour les néophytes intéressés par l’histoire de l’art. Ils contiennent de nombreux exemples pertinents et de belles études de cas pour éveiller la curiosité et exercer sa mémoire visuelle sans se sentir submergé par des concepts trop techniques. Un excellent point de départ ! Je vous recommanderai aussi la lecture de « L’invention du corps » et « L’invention de la nature » de Mme Nadeije Laneyrie-Dagen pour aller plus loin. Merci beaucoup pour votre commentaire positif, c’est toujours encourageant !

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